Bonjour à touset à toutes, j’espère que vous allez bien et que vous vous portez bien, on se retrouve donc aujourd’hui pour un article d’actualité.

Contexte

          Tout commence avec la Révolution Industrielle (XVIIIe – XXe siècle) qui est une période où l’on passe d’une société agraire et artisanale à une société commerciale et industrielle. Cela a fait apparaître de nombreux progrès techniques, dont certains engendrant de la pollution qui n’est pas bonne pour les espèces vivant sur Terre, d’où la nécessité de protéger l’environnement. 

          On peut donc définir la protection de l'environnement comme la prise de mesure pour limiter ou supprimer l'impact négatif des activités de l'homme sur son environnement. Mais malgré cette définition, les points de vue en ce qui concerne l’environnement restent différents.

Mais pourquoi faut-il absolument préserver l’environnement ?

          Préserver l’environnement est important pour notre santé, que ce soit respirer de l’air plus ou moins pur, manger des fruits et des légumes sans pesticide ou bien encore utiliser moins de produits nocifs dans notre habitat quotidien. Mais il en va de même pour la planète, ainsi que pour chaque espèce qui y est présente. Il faut savoir que toute pollution entraîne un rejet de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, le Co2 et celui-ci comble les trous dans l’atmosphère, ce qui signifie que les rayons provenant du soleil, une fois coincé dans le sol, sont reflétés dans l’atmosphère qui les retient, cela explique donc la montée des températures.

Quels sont donc ces fameux problèmes ?

          Il existe de nombreux problèmes liés à l’environnement, je ne vais donc pas tous les lister mais je vais en dire deux que j’estime plus ou moins important.

         L’un des premiers dérèglements que l’on a sans doute tous remarqué, c’est le changement de température en hiver par exemple, il fait carrément plus doux. Il ne neige quasiment plus sachant qu’il ne fait plus aussi froid, c’est surtout dommage pour la nouvelle génération qui ne connaîtra peut-être plus un hiver tel que certains ont pu le connaître.

         Les chiffres l’attestent, en moyenne sur la saison et sur la France, la température de 8,2 °C a été supérieure à la normale* de 2,7 °C, plaçant l'hiver 2019-2020 au 1er rang des hivers les plus chauds sur la période 1900-2020 devant les hivers 2015-2016 (+2,6 °C) et 1989-1990 (+2,0 °C). Il en va de même pour l’été, où les températures atteignent des records, on parle de pic de chaleur et donc de canicule si la température ne baisse pas pendant plusieurs jours. C’était le cas en 2018-2019 où l’on atteignait les 40 °C dans certaines régions en France.

         La hausse des températures va donc provoquer un deuxième dérèglement au niveau des habitats naturels et de la biodiversité. C’est notamment le cas en Arctique avec la disparition des ours polaires, il faut savoir que les ours polaires se nourrissent principalement de phoques qui se prélassent sur la glace. Mais cette dernière commence à fondre, ce qui rend la chasse de l’ours très difficile et en pousse quelques-uns à utiliser d’autres méthodes pour se nourrir, mais ce n’est pas le cas de tous et du coup l’espèce disparaît. Il en va de même pour plein d’autres espèces qui se retrouvent en position de faiblesse, d’autant plus qu’il y a la menace du braconnage pour certaines !

          Nous sommes dans une ère de progrès et d’évolution qui pollue énormément, nous construisons toujours plus, toujours plus haut, toujours plus loin car la population augmente. Cette dernière ne cessant d’augmenter, nous construisons plus de voitures qui polluent, plus d’avion, plus de train. Au niveau des technologies, nous construisons des smartphones toujours plus performants qui coûtent énormément de ressources. Aux niveau informatiques nous utilisons de plus en plus de serveurs qui demandent une forte alimentation en électricité, qui en passant pollue également puisqu’il faut la fabriquer à l’aide de ressources non renouvelables tels que le gaz de schiste, le charbon ou bien encore grâce à des centrales hydroélectriques, des barrages… De plus, cette population doit être nourris, ce qui force certains agriculteurs à user des méthodes agressives pour le sol mais aussi pour l’Homme tels que l’utilisation d’engrais, de pesticides, d’herbicides, etc…

         On peut donc se poser les questions suivantes : « Est-il possible de ne plus polluer ? » ou bien encore « Peut-on empêcher le dérèglement total de la planète ? ». Pour répondre à la 1ère question, ce n’est pas possible, l’homme polluera toujours, même si la pollution atteint un taux minime. Quant à la 2e question, cela reste faisable si l’on respecte certaines conditions telles que le changement des comportements, l’évolution des machines, appareils ou activités polluantes. Ce ne sont pas des conditions.

          Si on arrête demain d’émettre des gaz à effet de serre, qui agissent comme une vitre et conservent la chaleur près de la Terre, ils vont diminuer, mais très lentement. Selon les spécialistes, il faudrait plusieurs milliers d’années pour retrouver le niveau de concentration du dioxyde de carbone d’avant 1850, quand les humains n’avaient pas encore commencé à brûler du charbon et du pétrole. Nous n’avons donc pas de temps à perdre pour limiter nos émissions polluantes, mais aussi pour apprendre à vivre avec le changement climatique.

Quelles seraient donc les solutions ?

         Au niveau des comportements, il faudrait changer certaines habitudes comme bien fermer les robinets, éteindre la lumière en sortant d’une pièce, débrancher ses appareils la nuit, jeter ses déchets dans une poubelle ou bien encore trier ses déchets.

         Au niveau technologique, il faut continuer de développer des machines moins polluantes telles que la voiture électrique exemple pas très judicieux (la fabrication pollue plus qu’une voiture thermique et les batteries ne se recyclent pas. De plus il faut de l'électricité qui comme tu le rappelles plus tôt, pollue par son élaboration), les vélos… Mais il faut également développer et construire les machines en quantité suffisante et non en surplus. Par exemple, il serait mieux de construire une voiture spécifique pour une personne que d’en construire 10 dont certaines ne seront pas vendues. Impossible pour une entreprise de ce type de fonctionner comme ca, sinon aucun bénéfice (fabrication à la chaîne / gestion de production et approvisionnement)

         Au niveau agricole, les agriculteurs ne devraient plus utiliser d’engrais, d’herbicide, de pesticide. Ces derniers peuvent être remplacés par certaines variétés d’insectes qui repoussent certains ravageurs, par exemple : utiliser des coccinelles pour manger les punaises qui sont des insectes ravageurs. Ou bien, il y a encore la technique des « cultures associées » qui consiste à planter deux variétés de plantes différentes au même moment, pour que l’une bénéficie des avantages de l’autre (fertilisation, action répulsive…). De plus, il faudrait replanter des arbres sur Terre pour pouvoir absorber en plus grande quantité le taux de pollution, ce qui est problématique à cause de la déforestation.

         Au niveau urbanisme, les architectes cherchent à construire de manière verticale plutôt que horizontal, on va donc construire des immeubles plus hauts, ce qui évite de construire trop d’immeubles qui sont bas et qui occupent plus de territoire. Il faudrait également réorganiser les réseaux de transports comme par exemple favoriser les voies de métros souterraines, ou les voies de tramway surélevés au-dessus de la route, ce qui permettrait une meilleure fluidité du trafic et donc moins de pollution, il faut savoir qu’une voiture démarrée et à l’arrêt consomme !

         Au niveau judiciaire / géopolitique, de nombreuses lois et normes sont mises en vigueur et des projets de grandes institutions sont mis en place, notamment des conférences telles que la COP21 qui n’est autre que « Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques » où sont traités l’ensemble des problèmes concernant l’environnement ou le climat.

         Il est donc important et impératif de diminuer notre pollution, que ce soit pour nous mais aussi pour la génération suivante et celle d’après. Il ne faut pas penser individuellement mais plutôt collectivement !

C’est donc sur ces quelques mots que nous nous laissons aujourd’hui, en espérant vous retrouver au prochain article. Je vous dis à la prochaine !